Centrafrique | Droit de réponse : « Africa Intelligent super menteur » Jules NJAWE recadre les saboteurs.

Dans un article sensationnel et truffé de contre-vérités les plus absurdes, les journalistes de la nébuleuse au service de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE), service de renseignement français Africa Intelligence tente de jeter le discrédit sur la diplomatie centrafricaine afin de noyer ses nombreux succès dans la confusion et d’éloigner l’Exécutif de ses principaux conseillers en la matière. Cette campagne, comme les précédentes, participe d’une vaste entreprise de déstabilisation que met en œuvre l’Elysée et ses réseaux occultes dans sa volonté de continuer le pillage de ce pays d’Afrique Centrale en introduisant dans l’entourage présidentiel des fonctionnaires acquis à sa solde.
Cet objectif est clairement décliné dans ce propos introductif dudit article : «Depuis son accession au pouvoir en 2016, Faustin-Archange Touadéra a affiné ses relations et ses méthodes sur le plan diplomatique. Le chef de l’État s’est composé une armée de conseillers de l’ombre, sur laquelle il s’appuie pour arriver à ses fins. »
Ce qui gêne Paris n’est rien moins que l’intégrité de ces hommes et femmes sur qui le Président Touadéra peut compter à tout moment et qui sacrifient chaque seconde de leur précieux temps pour l’accompagner dans sa démarche souverainiste de défense des intérêts de son pays. Ces conseillers s’illustrent ainsi par une loyauté sans faille qui déconcerte Paris, désarçonne les ennemis du Président Touadéra et apparaît de plus en plus comme un premier rempart infranchissable autour du Chef de l’Etat.
La désinformation mise en œuvre contre ces hommes et femmes de valeur aux Cotes du Président Faustin Archange Touadéra constitue davantage une campagne de harcèlement politique contre ces derniers visant à créer une perception négative de leur travail et la baisse de sollicitation de leur service. Si la méthode semble subtile, il reste qu’en se fondant sur des élucubrations de manipulateurs bénéficiant visiblement de complicités internes que nous avons déjà démasqué,elle ne peut que connaître un échec retentissant reflet de son inconsistance consubstantielle.
L’inconsistance de cette stratégie tient tout d’abord à la méconnaissance des modes de fonctionnement de la Présidence de la République Centrafricaine ainsi qu’a la pertinence et la description du profil de Ministre Conseiller dans cette institution.
De ce fait, écrire que « le président centrafricain a pris l’habitude de contourner les canaux officiels », c’est exposer son ignorance abyssale sur la notion même de diplomatie dont la mise en œuvre par un Chef de l’Etat se fait à partir d’un réseau complexe d’acteurs pour atteindre des fins précises. Cette approche s’inscrit dans ce que les théoriciens des relations internationales appellent le réalisme diplomatique.
Le réalisme en diplomatie amène l’exécutif à utiliser les émissaires spéciaux. Ceci implique l’envoi de représentants (émissaires) par un État pour traiter des questions spécifiques avec un autre État, souvent pour une durée limitée et avec un objectif précis. Ces émissaires peuvent être chargés de négocier des accords, de faciliter des communications, ou de gérer des crises.
Cette forme de diplomatie est plus flexible et moins formelle que la diplomatie traditionnelle des ambassades. Toutefois elle demeure un procédé usuel que tous les Chefs d’Etat du monde mettent en œuvre. Le Président Touadéra n’invente donc pas la roue dans ce domaine.
En outre, pour ce qui est du fond de l’affaire, les différents responsables citer par Africa Intelligence, leurs missions relèvent de la seule discrétion du Chef de l’Etat Centrafricain qui en apprécient la pertinence, l’efficacité et l’opportunité. Lorsqu’un media, réputé être une caisse de résonnance de fausses informations comme Africa Intelligence, prétend connaitre des taches à eux confiées ou les apprécier, l’on rentre dans le registre de l’imposture et de la manipulation.
Ce media douteux devrait également savoir que le Chef de l’Etat d’un pays ne nomme dans ses couloirs diplomatiques que des hommes auxquels il a une totale confiance ou ceux qui lui sont recommandés par ces derniers. C’est donc peine perdue que d’essayer de créer une polémique sur leur travail que de les attaquer avec des mensonges grossiers comme ceux produits dans son article mis ici en cause.
Il faut enfin souligner que toute la litanie servie par Africa Intelligence ne visait qu’a essayer de salir le projet de monétisation digitale que le Président Touadéra a initié pour amorcer la souveraineté monétaire de son pays, devenant un exemple pour la sous-région Afrique Centrale. L’un des non-dits de cette tribune étant donc le rôle pionnier joué par ce pays via la magnifique équipe constituée autour du Président Centrafricain et dont les membres sont tous très bien présentés dans leurs missions.
Les conseillers Jules Njawe, Adrien Eboumbou, Pascal Bida Koyagbele, Moctar Koureichy, Sandra Boddhun ou encore le directeur du centre culturel russe Dmitri Sytyi devraient tous se sentir honorés de s’être distingués comme des hommes de confiance du président reconnus par les ennemis du Centrafrique. C’est leur loyauté qui fait problème et leur engagement sans faille à servir le Centrafrique ainsi que celui qui incarne sa souveraineté, le Président Faustin Archange Touadéra.
Plutôt qu’un moyen de pression, chacun de ces responsables devrait envisager cet article telle une invitation à servir encore plus leur souverain en restant fidèles aux lignes qu’il a traces pour l’émancipation du pays. Leur abnégation joue un rôle catalyseur pour les collaborateurs sincères du Chef de l’Etat qui vont s’en inspirer pour le bien de tous les centrafricains, de la paix durable et de la prospérité.

Jules NJAWE

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